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dimanche 25 janvier 2015

Le traitement pire que la maladie ? Les médicaments 3e cause de décès ! #santé

Les médicaments sont la troisième cause de décès

Les médicaments sont la troisième cause de décès

Manipulation des données (par le Dr Barrette aussi), corruption, faillite éthique, capture réglementaire, précipice fiscal. Les compliments sortent dru et décoiffent. « Nous avons confié la banque aux bandits ! », conclut le Dr Fernand Turcotte en faisant allusion aux compagnies pharmaceutiques, administrateurs et autres marchands du temple qui ont pris le contrôle du système de santé dans l’ensemble des pays riches.

Nos institutions publiques, destinées à protéger la collectivité, servent désormais des intérêts commerciaux et privés. Les médecins sont devenus des pushers de tests de plus en plus pointus et de médicaments coûteux, encouragés par les patients qui veulent piger dans le buffet « à volonté » et par un establishment frileux qui craint les poursuites. Je caricature à peine.

En gros, la santé hérite de presque la moitié de nos impôts. Et nous sommes victimes de politiques à courte vue alors que nous aurions besoin du télescope Hubble pour prendre une distance.

Devant moi, j’ai deux électrons libres qui connaissent à fond les rouages de notre système de santé, qu’ils rebaptisent « système de maladie ». L’une est éthicienne clinique (formation en droit, en communications et en bioéthique), l’autre est retraité de l’enseignement, cofondateur du département de médecine sociale et préventive à l’Université Laval, un bonze de la santé publique.

Delphine Roigt fait partie d’une « secte de sages » qui compte une dizaine de membres principalement affiliés au réseau hospitalier au Québec. Le Dr Fernand Turcotte, lui, a pris sa retraite, il y a dix ans, pour se consacrer à la traduction de livres de vulgarisation médicale sur les abus du système.

À 73 ans, le Dr Turcotte est l’un des rares médecins à s’indigner des excès de notrebusiness médical subventionné et « gratuit ». Son cheval de bataille ? Le surdiagnostic. On l’invite dans les congrès de médecins pour en discourir ; son franc-parler et sa crédibilité scientifique font le reste.

Selon le président de l’Association médicale du Québec, le Dr Laurent Marcoux, cité dans le magazine L’actualité de septembre dernier, le surdiagnostic représenterait cinq milliards de dollars sur un budget qui compte plus de 30 milliards au Québec. Aux États-Unis, on estimait les pertes entre 158 et 226 milliards en 2011. Qui dit surdiagnostic dit surtraitement et surmédication, voire mortalité. « Les médicaments sont la troisième cause de décès après les maladies cardiovasculaires et les cancers », martèle le doc Turcotte, qui traduit en ce moment un livre sur les médicaments et ce qu’il baptise le « crime organisé ».

« Quand un phénomène de santé est lié à un développement technologique, méfiez-vous ! On inflige du surdiagnostic ! » Mme Roigt opine : « Des patients me disent : “ Si j’avais su que c’était ça, un pacemaker, je m’en serais passé. ” On ne les avait pas informés des effets secondaires. Et c’est malheureusement vrai dans d’autres cas. »

Tant que ce n’est pas brisé, on ne répare pas

Certains économistes prévoient une croissance de 100 % du budget de santé au Québec d’ici 2030. Selon le docteur Turcotte (et les médecins américains qu’il traduit), nous avons tout faux en ciblant le vieillissement de la population pour expliquer la flambée des coûts à venir. Nous avons associé vieillissement et dépistage systématique, d’où la dérive actuelle.

S’il était ministre de la Santé, le Dr Turcotte abolirait tous les examens annuels sur des bien portants, toutes les campagnes de vaccination antigrippale, tous les tests de dépistage systématique (le mot est important) de cancer du sein, de la peau, de la prostate ou du côlon.

Des tests parfaitement inutiles, selon lui, puisque la courbe de mortalité demeure presque inchangée, tests ou pas. Côlon ou seins, à titre d’exemple, on réchapperait cinq patients sur 1000 personnes testées par période de dix ans. Évidemment, quand c’est toi la statistique trouble-fête, ça change tout… je parle en connaissance de cause.

Pour le cancer de la prostate, un homme sur 1000 en mourrait prématurément. Les 999 autres décèdent avec leur cancer, mais pas à cause de lui. « Le traitement est souvent pire que la maladie, croit le médecin. Depuis 1992, on a les études qui démontrent que les mammographies sont inutiles. Même chose pour la prostate : ça fait bientôt six ans qu’on dispose de preuves en platine que ces tests (PSA) devraient être arrêtés. Tous les hommes de plus de 60 ans ont un cancer de la prostate, mais il va se développer tellement lentement que ça va nous faire mourir après notre mort. »

Mon grand-père est mort de sa belle mort à 96 ans avec son cancer de la prostate en sourdine. Si j’avais une prostate, je souscrirais entièrement à l’approche non interventionniste du Dr Turcotte. « Compte tenu des efforts investis pour faire peur au monde avec le cancer, cela va prendre des efforts de longue durée pour réparer les torts faits par notre démagogie. »

Selon lui, les départements d’oncologie sont les secteurs les plus corrompus du système parce que les patients paniqués sont prêts à prendre et à faire n’importe quoi, même avec des taux de succès de 3 % à la clé.

« J’ai eu à régler un cas où la CSST obligeait un patient à subir une chimio qu’il refusait, mentionne l’éthicienne clinique. S’il la refusait, c’est qu’il n’était pas malade, donc, on lui coupait ses prestations… »

Ce qu’on ne sait pas ne nous fait pas mal

Delphine Roigt et le Dr Turcotte s’entendent parfaitement sur l’histoire de cas et le traitement : les médecins sont pris dans un étau qui les force à prescrire quelque chose et les patients sont à responsabiliser et à éduquer. « Le médecin se sent incompétent s’il n’a rien à offrir au patient. De plus, il ne s’estime pas appuyé par ses collègues ou l’administration s’il exerce son jugement et décide qu’un traitement ne s’applique pas », souligne l’éthicienne.

« Nous n’avons pas les moyens financiers de tout offrir à tout le monde, tout le temps », insiste le Dr Turcotte.

Autrement dit, ce n’est pas parce que le médicament ou le test existe que vous devriez vous en prévaloir. Au contraire, même. Le doc est coupant comme un scalpel : « Les médecins sont naïfs et se font rouler dans la farine. On leur ment sur l’efficacité des médicaments. Quant aux pharmaceutiques, je ne les crois plus car nous n’avons pas accès aux données primaires ; ce sont des secrets industriels. Ils racontent ce qu’ils veulent. »

Un ticket modérateur avec ça, docteur ? « Oui, et ce devrait être aux médecins de le payer — pas aux patients — pour toutes les demandes futiles et tests inutiles. Le médecin est le seul à détenir l’information. »

En plus de se faire traiter de paresseux, on leur reproche de gaspiller ; c’est assez pour rendre malade.


Source: "Les médicaments sont la troisième cause de décès" (wikistrike.com Jan 25, 2015 07:02 am) 

Suspension de la commercialisation de dizaines de médicaments génériques pour « manipulations »

Moins cher, mais vraiment aussi efficace ? Le soupçon est en train de monter sur le secteur des médicaments génériques. L'Agence européenne du médicament (EMA) a demandé vendredi la « suspension » de commercialisation de plusieurs dizaines de médicaments génériques en Europe à la suite de « manipulations » de données par une société indienne chargée d'en certifier la qualité.

«  La recommandation s'appuie sur les résultats d'une inspection remettant en cause la façon dont la société GVK Biosciences conduisait les études » nécessaires à l'obtention des autorisations de mise sur le marché de ces médicaments pour le compte des fabricants, explique l'EMA dans un communiqué.

Cette décision ne remet pas en cause l'efficacité ou bien la sécurité des médicaments visés par la suspension, souligne l'EMA, une agence basée à Londres.

Au total, jusqu'à près de 700 génériques pourraient être concernés par cette suspension, demandée par le Comité des médicaments à usage humain (CHMP), une instance interne de l'EMA.

La suspension ne s'appliquera pas aux génériques qui sont considérés comme « très importants pour les patients » et pour lesquels des médicaments alternatifs ne seraient pas disponibles en nombre suffisant pour répondre à la demande. Ce sera à chacun des pays membres de l'UE d'apprécier ces situations particulières, précise l'EMA.

La demande de suspension découle d'une inspection réalisée par l'Agence française du médicament, l'ANSM, sur le site de la société GVK à Hyderabad en Inde, précise l'EMA. « L'inspection a révélé des manipulations de données d'électrocardiogrammes durant la conduite d'études pour des médicaments génériques » sur une période d'au moins cinq années, explique l'EMA.

En France, déjà 25 médicaments concernés, dont l'Ibuprofène

L'ANSM a précisé de son côté que « les électrocardiogrammes ne constituent pas une donnée indispensable à la démonstration de la bioéquivalence » pour les médicaments génériques testés.

«  Cependant, la présence de ces anomalies caractérise un manque de respect des bonnes pratiques cliniques. De ce fait, les études réalisées par GVK Bio ne peuvent plus être considérées comme valables » selon l'ANSM.

Une étude de bioéquivalence a pour but de garantir que l'action thérapeutique d'un médicament générique est identique à celle du médicament de référence.

La recommandation de suspension par l'EMA sera transmise à la Commission européenne pour une décision finale. Tous les Etats membres devront se soumettre à cet avis.

En France, l'ANSM a en partie devancé la décision et suspendu dès décembre la commercialisation de 25 médicaments génériques (comme de l'Ibuprofène) par huit génériqueurs différents. A cette liste, l'agence française a ajouté, vendredi, huit autres médicaments.

Source: "Suspension de la commercialisation de dizaines de médicaments génériques pour « manipulations »" (Paul Jan 24, 2015 06:17 pm)


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